A titre informatif, voici la bande-annonce d'un documentaire réalisé par Coline Serreau et qui sortira en salle le 7 avril prochain.
Ainsi qu'en entretien avec la réalisatrice :
FONTAINE DE GAÏA
Fontaine de Gaïa est une association loi 1901 qui a pour objectif de respecter et de défendre l’environnement, en développant des actions locales et quotidiennes.
Fontaine de Gaïa entend notamment promouvoir la sensibilisation des enfants et des adultes à la préservation de l’environnement, et susciter une réflexion en commun de ses
membres.
ALLER AU VIDE-GRENIER DE PORCHEFONTAINE DIMANCHE 14 JUIN 2009 ET ALLER SUR LE STAND DE MOMAVALI-FRANCE
Ina Ranson, adhérente de Fontaine de Gaïa nous informe de la tenue de son stand :
Participation de l’association MOMAVALI-France au Vide grenier du dimanche 14 juin à Porchefontaine :
L’argent servira à compléter le financement d’un projet pour un orphelinat en Géorgie (Ex-URSS). Lauréat cette année de l’Agence des Microprojets (http://www.microprojets.org/), ce projet inclut une sensibilisation à l’écologie et s’inscrit dans un Agenda 21 institutionnel.
Livres, vêtements d’enfants presque neufs, turbulettes, pantalons de maternité…
Stand devant 81 rue Yves le Coz
Ina Ranson
Le site de notre association :
http://momavali.free.fr/
Fondation Cartier pour l'art contemporain
261, boulevard Raspail 75014 Paris
Métro Raspail ou Denfert-Rochereau (lignes 4 et 6)
RER Denfert-Rochereau (ligne B)
Bus 38, 68, 88, 91
Vélib’ 2, rue Victor Schoelcher
Stationnement réservé aux visiteurs handicapés moteur devant le 2, rue Victor Schoelcher
La Fondation Cartier est ouverte au public tous les jours, sauf le lundi, de 11h à 20h.
Nocturne le mardi jusqu'à 22h.
ALLER À UNE SOIRÉE-DÉBAT SUR LA « LA RÉDUCTION DES DÉCHETS D'EMBALLAGE », AVEC LA PARTICIPATION DU CNIID, LE JEUDI 5 MARS 2009 À 20 H
L'association la Ruche: alternatives écologiques et solidaires à Vanves vous propose une soirée-débat :
La réduction des déchets d'emballage
le jeudi 5 mars à 20 heures
École élémentaire Marceau
20, rue Marceau à Vanves
En présence de la responsable de la campagne "Prévention" du Centre national d'information indépendante sur les déchets (CNIID) qui nous exposera la nécessité de la prévention et du tri des déchets d'emballage.
Le reste de la soirée sera consacrée à une discussion ouverte à tous. Les emballages, c'est 50% du volume de nos poubelles et 30% de leur poids. Ils représentent un coût écologique et un coût économique qu'on ne peut plus ignorer. Côté environnement, ils consomment des matières premières et de l'énergie pour leur fabrication et leur transport. Après être passés (brièvement) chez vous, il faut de nouveau les transporter et soit les recycler (encore de l'énergie et de l'eau), soit les brûler (des gaz à effet de serre, des poussières) ou les enterrer (pollution des sols et des eaux, gaz à effet de serre).
Côté porte-monnaie, le système est loin d'être équitable puisque nous, consommateurs, payons 2 fois : d'abord, le coût de fabrication de l'emballage est répercuté sur le produit que nous achetons. Enfin, nous payons la taxe d'enlèvement des ordures et du recyclage
Pour limiter ce gaspillage, nous pouvons tous agir: les consommateurs en choisissant les produits les moins/mieux emballés, les distributeurs et les fabricants en proposant des emballages respectueux de l'environnement, les collectivités locales en organisant le tri et en informant les citoyens, l'état et l'Europe en instaurant et en faisant respecter les lois.
Venez partager vos idées !
Voir aussi le nouveau site du CNIID
REGARDER « PIECES A CONVICTION » SUR FRANCE 3 MERCREDI 11 FÉVRIER 2009
Voici une information diffusée par la CRIIRAD (Commission de recherche et d'information indépendantes sur la radioactivité) :
La CRIIRAD a apporté son appui scientifique à la réalisation de reportages pour un numéro de « Pièces à conviction » consacré aux déchets et pollutions laissées par l'exploitation des mines d'uranium.
Sous le titre « Le scandale de la France contaminée », il doit être diffusé mercredi 11 février à 20h35 sur France 3.
Nous espérons que vous pourrez le regarder car il s'annonce passionnant. Vous y retrouverez plusieurs des études réalisées par le laboratoire de la CRIIRAD : à Saint-Priest-La-Prugne dans la Loire, La Crouzille en Haute-Vienne, Gueugnon en Saône-et-Loire, Saint-Pierre dans le Cantal....
Encore faut-il que l'émission soit diffusée !
Areva vient en effet de saisir le Conseil Supérieur de l'Audiovisuel (cf. ci-dessous) et fera son possible pour empêcher la diffusion d'informations susceptibles d'écorner son image de marque.
Réponse le 11 février prochain.
N'hésitez pas à faire circuler cette info et à avertir vos parents et amis.
Plus d'info sur le dossier des mines d'uranium : www.criirad.org
Voici par ailleurs ce qui est écrit sur le site internet d'Europe 1 :
« L'enquête de France 3 sur l'uranium jette un pavé dans la mare »
Controverse autour de l'émission "Le scandale de la France contaminée" sur France 3
Le 11 février, le nouveau numéro du magazine "Pièces à conviction" sur France 3 évoquera "le scandale de la France contaminée". Pour défendre la thèse que des millions de tonnes d'uranium sont dispersées dans toute la France. Ce sujet fait polémique, le groupe Areva a fait appel au CSA car il juge que l'enquête est "contraire à la déontologie".
Le groupe Areva a annoncé jeudi son intention de saisir le Conseil supérieur de l'audiovisuel à propos de l'émission de France 3, "Pièces à conviction". Dans un communiqué, Areva, qui a eu connaissance par la presse de la teneur des reportages proposés, estime "pour le moins surprenant, voire contraire à la déontologie, que son point de vue soit présupposé et rendu public avant même qu'il ne se soit exprimé". Les producteurs de l'émission ont cependant prévu un entretien avec le porte-parole du groupe, qui doit être enregistré vendredi et inséré dans l'émission. Se référant aux informations de presse, Areva exprime "le sentiment que le magazine est d'ores et déjà bouclé, à charge contre le groupe Areva". Lionel de Coninck, rédacteur en chef de "Pièces à conviction", a assuré qu'il ne s'agissait "en aucun cas de présupposer ce qui va être dit dans l'émission". Selon lui, ce qui a été dit dans le reportage de la position d'Areva est "basé sur ce que dit Areva depuis des dizaines d'années sur le sujet".
Le sujet de la controverse : l'émission qui défend l'idée selon laquelle, en toute discrétion, dans nos campagnes, à proximité des villages ou des villes, des déchets radioactifs extrêmement dangereux ont été disséminés, ou ensevelis méthodiquement, depuis des dizaines d'années. Pire encore, ils ont parfois servi à construire des routes, des parkings, et même des logements, des écoles ou des aires de jeu pour les enfants, sans aucune mise en garde sur les risques encourus. C'est cette situation que France 3 évoquera dans son magazine "Pièces à conviction" le 11 février prochain. Avec une édition intitulée "Le scandale de la France contaminée".
Le magazine s'ouvrira sur un reportage à Gueugnon, en Saône-et-Loire. Sur le parking d'un stade, le détecteur de radiation d'un spécialiste de la Criirad (Commission de Recherche et d'Information Indépendante sur la Radioactivité) crépite à tout va. Là, sur une superficie de 12 hectares, près de 225.000 tonnes de déchets radioactifs ont été dispersés sur un terrain ouvert à tout venant. Ironie du sort, ce terrain a même accueilli un "parcours de santé". Gueugnon est "la toute dernière ville ayant découvert qu'elle était concernée par ce problème des déchets radioactifs", selon Elise Lucet, présentatrice du magazine.
Au total, selon les enquêteurs du magazine, entre 1945 et 2001 plus de 300 millions de tonnes de déchets radioactifs, résidus des 210 mines exploitées en France, ont été abandonnées sans mesure de protection ou de surveillance particulière. L'enquête fait également état de liens étroits entre ceux qui sont officiellement chargés de mesurer la radioactivité dans la nature et les anciens pollueurs. Négligence ou véritable "omerta" des pouvoirs publics ? Une pierre radioactive à la main en guise d'argument,
Elise Lucet se propose de demander des explications à Jean-Louis Borloo, ministre de l'Ecologie, qui sera interrogé séparément.
Malgré le fait que les mines d'uranium françaises ne soient plus en activité depuis plusieurs années, cette pollution qu'il s'agisse de minerais "stériles" (trop pauvre en uranium pour devenir du combustible nucléaire) ou d'autres résidus de l'activité minière, peut s'avérer dangereuse à long terme, assurent les enquêteurs du magazine. Areva (ex-Cogema) soutient le contraire, estimant extrêmement improbable l'hypothèse d'une exposition prolongée évoquée par l'émission. Sa présidente, Anne Lauvergeon, n'a pas souhaité apparaître dans l'émission et a laissé à un porte-parole le soin de répondre à Elise Lucet lors du débat prévu sur le plateau. Anne Lauvergeon, d'autre part, sera récompensée par le trophée des "Créateurs sans frontières" pour son action en faveur du rayonnement de la France à l'étranger. Ironique pour quelqu'un qui participe à l'irradiation intérieure de la France.
ÉCOUTER « SERVICE PUBLIC » SUR FRANCE INTER
En cliquant sur ce lien, vous pouvez réécouter pendant une semaine l'émission « Service public » diffusée sur France inter le lundi 24 novembre 2008, et la podcaster.
Elle a pour titre « Pollution, pesticides, notre alimentation est-elle menacée ? Faut-il avoir peur de ce que nous mangeons ? ».
Les invités sont :
Jean-Paul Jaud, le réalisateur du film sorti en salle le 5 novembre 2008, « Nos enfants nous accuseront » (http://www.nosenfantsnousaccuseront-lefilm.com/).
Sylvie Gilman, réalisatrice du documentaire « Mâles en péril » diffusé sur Arte le 25 novembre 2008 à 21h00 (dossier complet sur le site d'Arte).
Jean-Charles Bocquet, directeur général de l'UIPP (Union de la protection des plantes).
ALLER VOIR LE FILM DE JEAN-PAUL JAUD « NOS ENFANTS NOUS ACCUSERONT »
Chaque année en Europe 100 000 enfants meurent de maladies causées par l'environnement.
70 % des cancers sont liés à l'environnement dont 30 % à la pollution et 40 % à l'alimentation.
Chaque année en France, on constate une augmentation de 1,1 % des cancers chez les enfants.
En France, l'incidence du cancer a augmenté de 93 % en 25 ans chez l'homme.
Dans un petit village français au pied des Cévennes, le maire a décidé de faire face et de réagir en faisant passer la cantine scolaire en bio. Ici comme ailleurs la population est confrontée aux angoisses contre la pollution industrielle, aux dangers de la pollution agro chimique. Ici commence un combat contre une logique qui pourrait devenir irréversible, un combat pour que demain nos enfants ne nous accusent pas.
Sortie en salle le 5 novembre 2008.